Et c’est parti pour une nouvelle marotte totalement improvisée, parce que pourquoi pas ! Comme les beaux jours reviennent, la joie s’invite dans les foyers, les journées s’allongent et l’optimisme est enfin permis de nouveau… Alors racontons des histoires qui font peur, bordayl !!!!
Artiste : The Bridge City Sinners
Origine : Portland, Oregon
Date de sortie : année
Genre : Horror Folk
Dans cette mini-série Horror Stories j’aimerais vous parler d’artistes biberonnés aux films d’horreur, aux nouvelles de Poe et de Maupassant et aux légendes de zombies et autres croquemitaines.
Et à ce titre, la superbe scène de l’Horror Folk-Punk que je découvre à peine est sans doute le meilleur point de départ. Une scène où le DIY est un principe de base, pleine d’artistes formidables et de bonnes vibes, entre histoires de monstres et histoires humaines.
The Bridge City Sinners, c’est un petit groupe de potes qui a explosé sur les Internets alors qu’à la base ils voulaient juste jouer à l’arrache dans les rues de Portland, Oregon. Depuis ils ont une paire de millions de vues sur Youtube mais ils gardent un esprit DIY avec des instruments de récup et un album entièrement autoproduit.
The Bridge City Sinners, c’est selon leur propre description, « pas la Folk Music de ton grand-père ». Derrière cette irrévérence toute adolescente, faut admettre que ça déménage : banjo, ukulele, violons, clarinette, contrebasse, et surtout Libby Lux, frontwoman et chanteuse déchaînée qui te raconte ses histoires qui font peur avec sa belle voix suave et parfois saturée, et son énergie de dingue.
The Bridge City Sinners, c’est un trip quelque part entre Dresden Dolls, Twin Temple et les Cowboys Fringants ; écoutez-moi ça et bambochez donc, pauvres pécheurs !